interview de Julien KLEIN
Principes et pratique de la microkinésithérapie
propos recueillis par François BASSAGET
Julien KLEIN
MicroKinésithérapeute
recherche et résolution de traumatismes anciens par des stimulations cutanées légères.
travail complémentaire possible sur l’habitat (géobiologie holistique)
06 67 66 77 95
sur rdv au 35 grand rue St-FÉLICIEN
ou à distance avec des résultats identiques
site https://avoeux.com/
La microkinésithérapie fonctionne, comme beaucoup d’autres thérapies, sur le principe que le corps conserve les traces des traumatismes qu’il n’a pas su gérer ou digérer. Julien Klein l’explique bien dans la vidéo de son site: Qu’est-ce que la MicroKinésithérapie?
Mais comment fait-il, d’abord pour trouver ces traces, et ensuite les faire disparaître?
Comment trouves-tu les blocages ?
« La microkiné s’appuie sur le principe des « métamères ». Des chercheurs ont trouvé que la construction du corps, à partir des cellules souches, se faisait par couches successives. Et lorsqu’un problème survient à un endroit et sur un organe, ce sont tous les étages qui se trouvent bloqués. Ce qui complique un peu la recherche, c’est qu’au cours du développement du corps, les différentes couches ne se superposent plus forcément au même endroit. C’est grâce à une cartographie du corps qu’on arrive à retrouver les zones qui se correspondent. À partir de ça, on sait qu’on peut corriger tel organe ou tel symptôme à partir de tel ou tel endroit de la peau, parfois éloigné.
En fait, personnellement je suis doué d’un « clair-ressenti »: en présence d’une personne, mon corps ressent ce que la personne ressent. Je suis donc averti de ses malaises et de ses problèmes. J’ai peu à peu appris à distinguer parmi mes ressentis, ceux qui concernaient mon corps et ceux qui proviennent des autres. Mais bien sûr, il me faut aussi ensuite savoir laisser partir de moi ce qui ne m’appartient pas. »
Comment fais-tu pour soigner ?
« Je cherche donc d’abord, par un léger toucher, les zones de la peau qui sont bloquées et j’en déduis l’organe qui est en souffrance et les émotions qui y sont attachées. Je vais alors restimuler le corps à l’endroit de départ pour libérer le problème. Le soin est une réinformation du corps, qui lui indique qu’il peut se libérer. En présentiel, ça se fait par de légers contacts. À distance, c’est l’envoi d’une information au corps de la personne. Une fois que c’est libéré, on peut contrôler sur le corps ou sur l’organe si c’était bien ça. Mais on ne sait jamais à l’avance comment chaque personne va réagir. »
Les soins sont-ils durables ?
« Les stimulations arrivent en général à au moins améliorer les problèmes. Mais pas toujours à 100%. Si la réponse du corps est 100% positive, le problème est réglé définitivement. Si la résolution est seulement partielle, ça atténuera au moins le problème. Il sera mieux alors d’y revenir ensuite pour parfaire la situation. Mais le plus souvent ce n’est pas nécessaire. Il n’est pas forcément nécessaire non plus que la personne conscientise ses problèmes et leur origine. C’est le déblocage que j’effectue qui libère. »
Des déblocages sont souvent nécessaires ?
« Les blocages dans le corps ne sont pas quelque chose de rare. Tout le monde en a, plus ou moins. Souvent les gens viennent dans l’urgence, au moment où ils souffrent le plus, d’un dos, d’un chagrin, d’une colère. On peut soigner ce symptôme sur le moment. Mais souvent c’est un peu après qu’on peut aller chercher les causes profondes. On voit souvent deux à trois mois plus tard ce qui a évolué.
Tout le monde a des problèmes à régler, et même une infinité si on veut. Tout dépend comme on en est indisposé. Et quand un problème devient important, je pense que c’est mieux de se faire aider par quelqu’un pour éviter que ça s’éternise. Pour ma part, je continue de « travailler sur moi » régulièrement avec l’aide de collègues, qui eux aussi font appel à d’autres. »
Pour lire des explications techniques plus précises: https://microkine.ovh/
Pour visionner un exemple de séance: Genève la Clinique naturelle.